Ma PàL

Cette page a pour vocation de rassembler les titres se trouvant dans ma PàL (Pile à Lire) afin d’avoir un œil sur l’évolution de celle-ci au fil de l’année. Les titres suivis d’un ♥ sont ceux pour lesquels j’ai eu un coup de cœur à la lecture.

En papier : La nuit où les étoiles se sont éteintes de Nine Gorman et Marie Alhinho chez Albin Michel /
(pour le s4f3 ->) Connexions de Michael F. Flynn au Bélial (SP) / Cassylyna #2 une mort sans fin de S.A. William chez Livr’S / Sorcière et tueuse #1 de Katie French aux éditions du Chat Noir / D’or et de mensonges de Selina Fenech aux éditions du Chat Noir / La trilogie du voile #1 Souvenirs Volés de Selina Fenech aux éditions du Chat Noir / La trilogie du voile #2 le règne de l’espoir de Selina Fenech aux éditions du Chat Noir / La trilogie du voile #3 providence dévoilée de Selina Fenech aux éditions du Chat Noir / Les monstres de Shroudhaven #1 de Selina Fenech aux éditions du Chat Noir / Sang d’écume de Magali Lefebvre aux éditions du Chat Noir /

En numérique :

En mangaBlack Butler #32 (Kana), Horimiya #9 (nobi-nobi), Neon Genesis Evangelion perfect edition #5 (Glenat), Horimiya #10 (nobi-nobi), Love Mix-Up #1 (Akata), Sounds of Life #2 (Akata), Honetsugi #2 (komikku), Blue Sky Complex #4 (Fleur Hana), Blue Sky Complex #5 (Fleur Hana), Polaris will never be gone #1 (chatto-chatto), Sans aller à l’école je suis devenu mangaka (Akata),

En BD : Les beaux étés #2 (Dargaud), Il faut flinguer Ramirez #2 (Glenat),

En comics : Les tortues ninjas #1 (Hi Comics),

Lus en 2023 :
Les romans : Nightwork de Vincent Mondiot chez Actes Sud Junior (♥), Thomas le rimeur d’Ellen Kushner chez Hélios, La vie tumultueuse de Mary W. de Samantha Silva aux Presses de la Cité (cadeau), Harrison Harrison de Daryl Gregory au Bélial, Thornhill de Pam Smy chez Rouergue (♥), Love in 56k de Clémence Godefroy au Chat Noir (♥), Morgane Pendragon de Jean-Laurent Del Socorro chez Albin Michel Imaginaire, Langues de vipère de S.A. William chez Livr’S Éditions, Cassylyna #1 Ironie du sort de S.A. William chez Livr’S Éditions, Just wanna be your brother de Mathieu Guibé et Nine Gorman chez Albin Michel (♥), Maudite de C. Sizel chez Plume Blanche, La dragonne et le drôle de Damien Galisson chez Sarbacane, Noon, la première ou la dernière de L. L. Kloetzer au Bélial (SP), Le règne des chimères d’Ariel Holzl chez Slalom, La société protectrice des kaijus de John Scalzi chez l’Atalante (SP), Tokyo Detective de Jake Adelstein chez Marchialy, Les aînés #1 de Serenya Howell chez Plume Blanche (♥), Le palais au-delà de la mer de Xenia V. aux éditions du Chat Noir, Runaway de Mathieu Guibé chez Akata (light novel), Les aînés #2 de Serenya Howell chez Plume Blanche (♥), L’école des mousquetaires #1 de Bertrand Puard chez PKJ, Les aînés #3 de Serenya Howell chez Plume Blanche (♥), Une mélodie pour les fantômes d’Erica Waters aux éditions du Chat Noir, Corpuscrit de Christelle Colpaert-Soufflet chez Livr’S,

Les formats courts : Bifrost n°108 au Bélial (4), La Maison des Jeux #3 le Maître de Claire North au Bélial (SP), Bifrost n°109 au Bélial (5), Jolies Mary de Gwendolyn Kiste au Chat Noir, Une prière pour les cimes timides de Becky Chambers chez l’Atalante (SP), Miranda de Nina Gorlier aux éditions du Chat Noir, Encrer l’avenir – énergie (anthologie) chez Livr’S Editions (SP – 5), Ghost’n’Roll Baby de Jean-Pierre Favard chez Livr’S (SP), Et parfois elle revient de Nora Blake aux éditions du Chat Noir,

Les essais :

Les mangas : Sasaki et Miyano #5 (Akata), Frieren #6 (Kioon), Les carnets de l’apothicaire #10 (Kioon), From the red fog #2 (Panini), Horimiya #7 (Nobi-Nobi), Pseudo Harem #1 (Chatto-Chatto), Shangri-La Frontier #6 (Glénat), Shangri-La Frontier #7 (Glénat), Country Girl #1 (Chatto-Chatto), Country Girl #2 (Chatto-Chatto), Don’t call me magical girl #1 (Chatto-Chatto), Iruma à l’école des démons #17 (Nobi-Nobi), Goodnight World #4 (Akata), Goodnight World #5 (Akata), Neon Genesis Evangelion Perfect Edition #3 (Glénat), Neon Genesis Evangelion Perfect Edition #4 (Glenat), Horimiya #8 (Nobi-Nobi), Adieu Eri (Crunchyroll), One Punch Man #22 (Kurokawa), One Punch Man #23 (Kurokawa), One Punch Man #24 (Kurokawa), One Punch Man #25 (Kurokawa), My Hero Academia #1 (Kioon), My Hero Academia #2 (Kioon), Demon Slayer #1 (Panini), New Normal #1 (Kana), My Hero Academia #3 (Kioon), My Hero Academia #4 (Kioon), My Hero Academia #5 (Kioon), Library Wars #1 (Glénat), Library Wars #2 (Glénat), My Hero Academia #6 (Kioon), My Hero Academia #7 (Kioon), My Hero Academia #8 (Kioon), Library Wars #3 (Glénat), Library Wars #4 (Glénat), Library Wars #5 (Glénat), Library Wars #6 (Glénat), Library Wars (Glénat) #7, Library Wars (Glénat) #8, Library Wars (Glénat) #9, Library Wars (Glénat) #10, Library Wars (Glénat) #11, Library Wars (Glénat) #12, Library Wars (Glénat) #13, Library Wars (Glénat) #14, Library Wars (Glénat) #15, Iruma à l’école des démons #18 (Nobi-Nobi), New Normal #2 (Kana), Frieren #7 (Kioon), Les carnets de l’apothicaire #11 (Kioon), Honetsugi marchand d’os #1 (komiku), Sounds of life #1 (akata), Sasaki et Miyano #6 (Akata), Blue Sky Complex #1 (Hana Collection), Blue Sky Complexe #2 (Hana Collection),

Les BD : Les vieux fourneaux #1 (Dargaud), Les vieux fourneaux #2 (Dargaud), Blacksad #4 (Dargaud), Blacksad #5 (Dargaud), Les vieux fourneaux #3 (Dargaud), Blacksad #6 (Dargaud), Les vieux fourneaux #4 (Dargaud), Les vieux fourneaux #5 (Dargaud), Le grimoire d’Elfie #1 (Drakoo), Les beaux étés #1 (Dargaud), Les vieux fourneaux #6 (Dargaud), Les vieux fourneaux #7 (Dargaud), Le grimoire d’Elfie #2 (Drakoo), Maliki blog #1 (AE), Aslak #1 (Delcourt), Maliki blog #2 (AE), Maliki blog #3 (AE), Hello Fucktopia (ankama), Tizombi #4 (Bamboo), Le grimoire d’Elfie #3 (Drakoo), Aslak #2 (Delcourt), Aslak #3 (Delcourt), La petite souriante (Dupuis), Le jardin des fées #1 (Drakoo), Il faut flinguer Ramirez #1 (Glénat),

Les comics : Demon Days de Peach Momoko (Marvel)

Les albums jeunesses : La grande princesse de Julia Pietri (éditions Julia Pietri), Plus tard je serai de S.A. William et Lou (Livr’S Éditions), Petit panda Manon sauve la planète (album jeunesse parce que mon père a de l’humour ->)

Abandon en 2023 :
– Les oubliés de l’amas de Florianne Soulas chez Scrinéo (SP) : abandon au bout d’une centaine de pages car la mise en place est trop longue à mon goût et l’héroïne ne parvient pas à susciter mon intérêt. La taille du roman m’empêche aussi de m’accrocher, elle est décourageante pour un début aussi peu prometteur. Je pense que je ne suis pas le public de cette autrice.
Sombre Tilly de Georgia Bowers aux éditions du chat noir : j’ai abandonné après un peu moins de cent pages parce que j’ai senti le twist final arriver déjà à ce moment-là. J’ai été vérifier en lisant les deux derniers chapitres et j’avais effectivement raison… De plus, l’ambiance très teenage romance m’a vite lassée.
Mensonges, omissions et boite à musique de Céline Saint Charle chez Livr’S (SP) : j’ai voulu tenter l’aventure car j’apprécie énormément l’autrice mais ce roman ne correspond tout simplement pas à mes goûts ni à mes préoccupations. J’ai laissé tomber après trois chapitres car c’était déjà évident pour moi à ce moment-là.
Les Errantes de Jo Wittek chez Actes Sud Junior : j’ai abandonné après un peu plus de la moitié. La triple narration est un calvaire quand deux perso’ sur trois m’agacent. Les ficelles sont trop grosses à mon goût et l’exécution n’a pas su me convaincre. Je n’avais tout simplement pas envie de continuer l’aventure.
Les tribulations d’Esther Parmentier #1 de Maelle Dessard chez Rageot : j’ai trouvé l’héroïne pénible dés les premières lignes de la narration mais je serais incapable de donner une raison particulièrement éclairante. Elle m’a saoulée, c’est tout. De plus, la façon dont elle rencontre le vampire enquêteur est tirée par les cheveux, sans compter que leur première interaction m’a fait rouler des yeux. Je pense que j’aurais pu aimer ce livre il y a cinq ou dix ans mais j’en ai trop lu pour encore m’y retrouver.
La fureur des siècles de Johan Heliot chez Critic : j’ai d’abord été intriguée et prise dans ce récit au ton très verbeux qui m’a rappelé les chroniques de jadis. Hélas, vers la moitié, mon intérêt a commencé à décliner pour plusieurs raisons. D’abord Reginus qui est assez pénible, ensuite le fait qu’on ne comprenne pas grand chose à la logique de la Furia. Je n’arrive pas à croire ni à concevoir le concept en lui-même, ce qui me sort de l’histoire. Dommage.
Nos destins sombres d’Aiden R. Martin aux éditions du Chat Noir : ça partait bien mais j’ai d’abord tiqué sur la narration, doublement à la première personne avec les personnages qui s’adressent directement au lecteur avec des parenthèses et des plaisanteries, ce qui me sort de l’histoire. Ensuite, je dois avouer qu’Orphée est agaçant, ça m’aurait davantage plu de suivre uniquement Isidore et surtout, moins lassé. Enfin, je crois que ce n’est plus du tout le type d’histoire qui me convient, j’ai quand même lu la fin pour savoir ce qui allait leur arriver et j’ai été déçue par le dénouement final qui, finalement, était assez attendu. Je dois vraiment arrêter d’acheter ce type de roman, je ne les apprécie plus à leur juste valeur.
L’arbre d’Halloween de Ray Bradbury (Folio SF) : encore un texte qui partait bien mais très vite, l’aspect rimé et enfantin du texte façon conte m’a lassée. Je l’imagine très bien sous forme de film animé mais à lire, j’accroche moins. Ce n’est pas exactement ce que j’attendais d’un roman de cet auteur mais pour des plus jeunes, c’est tout à fait recommandable.
Les anges mécaniques #1 de Carina Rosenfeld chez Gulfstream : j’ai abandonné au bout de quarante pages parce que je n’accroche pas du tout au style d’écriture et que la mise en place est désespérément vue, revue et re-revue, je suis blasée je crois…
Morwenna de Jo Walton chez Folio SF : commencé il y a plusieurs jours, je me rends compte que je n’ai pas spécialement envie de l’ouvrir ni de continuer à lire. Je retenterais à un autre moment car c’est Jo Walton et que j’ai adoré discuter avec elle à Lille.
Éversion d’Alastair Reynolds au Bélial (SP) : l’ennui est le sentiment qui a prédominé ma lecture pendant toute la première moitié du roman. Au bout de 150 pages fastidieuses, les premiers twists arrivent enfin mais trop tard pour parvenir à rattraper le coup. De plus, je n’ai pas accroché aux personnages qui manquaient d’intérêt comme de saveur. Face à l’engouement sur la blogosphère, j’attendais beaucoup plus de ce roman et la déception n’en est que plus  grande…
Océanique de Greg Egan au Bélial (SP) : après le coup de cœur d’Axiomatique, je partais confiance dans cette lecture mais je n’y arrive pas. J’ai abandonné plusieurs nouvelles parce que je les trouvais trop longues ou trop obscures pour moi, trop « hard sf » dans le mauvais sens du terme. Où est passé l’aspect psycho-social que j’avais tant aimé dans Axiomatique ? Dans la deuxième partie du recueil, il parait, mais je n’ai pas / plus du tout envie de m’y pencher pour le moment. J’abandonne donc avec option de reprise plus tard…
Quelqu’un se souviendra de nous de Nadège Da Rocha chez ActuSF (SP) : je voulais vraiment aimer ce roman car son postulat de départ et la 4e de couverture me parlaient beaucoup. Et si, pour une fois, on se centrait sur les femmes de la mythologie grecque ? Et si on obligeait les dieux à les considérer ? L’aspect sororité, inclusif, moderne, m’a attirée mais malheureusement une fois le livre ouvert, c’est l’ennui qui a dominé. Le texte dégage un manichéisme lassant et possède une construction classique au sens presque scolaire du terme. De plus, le travail éditorial a été bâclé car on retrouve de nombreuses répétitions et même un passage où une narration à la première personne se retrouve parasitée par une autre à la troisième comme si ç’avait été changé mais à moitié seulement. C’est dommage car le principe était prometteur mais tout le reste ne suit pas que ce soit sur l’écriture de l’autrice, le développement des personnages ou le travail de la maison d’édition…
Paulinette de Serenya Howell chez Plume Blanche : j’étais très hypée par le concept de cette petite faucheuse qui apprend son métier. J’avais espoir de retrouver une ambiance un peu à la Dolorine à l’école d’Ariel Holzl et si j’ai aimé l’univers, j’ai été rebutée par l’écriture trop enfantine qui sonnait fausse et agressive à cause d’un abus des points d’exclamation. Ça peut paraître surprenant mais j’avais l’impression que le texte me criait dessus au point que je n’avais pas spécialement envie de continuer. C’est une question de goût personnel mais je suis frustrée parce que j’avais vraiment envie d’aller au bout.
L’ascension des dragons de Marion Orby chez Plume Blanche : en me basant sur la couverture et le résumé, j’ai spontanément pensé qu’il s’agissait de fantasy type médiévale mais je me suis complètement trompée. Au moment où j’ai ouvert ce livre, je n’avais pas du tout envie d’urban fantasy YA, je n’accroche plus trop à ces codes-là et de fait j’ai été rebutée par le couple formé entre Enma et Yliès. À nouveau, c’est une question de goûts personnels, je ne remets pas en cause la qualité du livre en lui-même. D’une part parce que je n’ai lu qu’une centaine de pages et d’autre part parce que je ne suis tout simplement pas le public cible. Dommage ! Mais je sais déjà à qui l’offrir pour faire plaisir alors rien n’est perdu.
Shangri-La Frontier #8 (Glénat) : j’ai fini par me lasser de la série qui tourne un peu en rond malgré un world building assez impressionnant et des références au gaming qui me parlent. J’ai le sentiment que l’intrigue en elle-même est inexistante et qu’on suit simplement la progression d’un joueur, sans vrais enjeux. Dommage parce que sur un plan graphique, c’était sympa.
– Beauty and the beast of paradise lost #1
(Pika)Dans mon adolescence j’étais une très grande fan de Kaori Yuki et je l’adorais, j’adorais tous ses mangas que je lisais avec plaisir. Sauf que… dans ses derniers titres, je la trouve très redondante. Elle raconte toujours la même histoire avec le même genre de personnage, ni son style graphique ni ses compositions de scénarii n’évoluent. Du coup, je m’ennuie et à la moitié, j’ai dit stop. Dommage ! Comme quoi, la nostalgie ne suffit pas…
Olangar, le combat des ombres de Clément Bouhélier chez Critic : je n’ai objectivement rien à reprocher à ce roman. Il est toujours très bien écrit, c’est du beau boulot sur tous les plans. Sauf qu’il est trop dense et trop engagé pour mon état d’esprit actuel. Pas que je sois contre ses valeurs, simplement j’ai besoin d’un autre genre de lecture. Je l’ai donc rangé dans ma bibliothèque et je vais attendre un meilleur moment pour achever ma lecture.
La Machine #2 de Katia Lanero Zamora chez ActuSF : à l’instar d’Olangar je n’ai objectivement rien à reprocher à ce roman si ce n’est que je n’arrive pas à me remettre dedans et donc à l’apprécier à sa juste valeur. J’ai donc décidé de le ranger dans ma bibliothèque et d’y revenir plus tard, peut-être dans quelques mois ou dans quelques années, quand mon état d’esprit aura évolué.

Dernière mise à jour : 1er juin 2023

2 réflexions sur “Ma PàL

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